Positionnement B2B : une méthode en 6 étapes pour se démarquer
Bienvenue dans ce nouveau numéro de ma newsletter dédiée à l’exploration de la jungle du B2B.
Aujourd’hui on va parler d’un sujet toujours très présent, et qui passe souvent à l’as : le positionnement. Et ça concerne autant les petits que les boites déjà bien développées.
Votre B.O de circonstance pour cette édition :
Bonne lecture !
0. Qu’est-ce que le positionnement ?
Un positionnement clair est votre boussole stratégique.
Et il faut avouer que malheureusement trop de dirigeants ne s’interrogent sur la question que quand ça va mal.
La positionnement, c’est ce qui permet à vos clients cibles de comprendre en quoi vous êtes différent. Et pourquoi ils devraient vous choisir, vous plutôt qu’un autre. Pourtant, beaucoup de boites naviguent avec un positionnement daté, flou ou “fourre-tout”.
Résultat ? Des messages qui ne font pas mouche, des cycles de vente à rallonge, et la tentation de casser les prix pour convaincre.
Bonne nouvelle : affiner son positionnement n’est pas réservé aux géants du secteur ou aux gourous du branding. Avec la bonne méthode, tout dirigeant ou marketeur B2B peut ajuster (ou refondre) le positionnement de son offre afin de gagner en clarté et en impact. Que vous partiez de zéro ou souhaitiez simplement raffiner un positionnement existant, suivez ce guide pas-à-pas.
Nous allons combiner une prise de hauteur stratégique (pour comprendre le “quoi” et le “pourquoi”) avec des conseils très opérationnels (pour le “comment” au quotidien).
Et comme d’hab, chaque étape est illustrée par des exemples concrets et activables.
1. Définir le positionnement idéal : cible, problème, solution, différenciation
La première étape consiste à clarifier où vous voulez vous situer dans l’esprit de vos clients. En B2B, cela revient à formuler quatre éléments clés : qui vous ciblez, quel problème vous résolvez, quelle solution vous apportez, et en quoi elle est unique.
Autrement dit, vous définissez la place idéale que vous voulez (réalistiquement) occuper sur votre marché.
Prenez le temps de répondre aux questions fondamentales :
Qui est votre client idéal (secteur, taille d’entreprise, poste du décideur…) ?
Quel problème urgent ou important réglez-vous pour ce client ?
Quelle solution apportez-vous, c’est-à-dire quelle promesse de valeur faites-vous ?
Avec quel bénéfice ?
En quoi êtes-vous différent de vos alternatives (concurrents directs, substituts, statu quo) ?
🚨 Erreur fréquente : suivre le leader aveuglement
Encore la semaine dernière j’expliquais à une ancienne collègue basée en Scandinavie pourquoi “simplement courir après le leader n’est pas un business plan”. Beaucoup trop d’entreprises copient les leaders du marché en pensant que cela les aidera (“si ça marche pour eux, ça devrait marcher pour nous ?”). Mais si vous essayez juste d’être une version légèrement moins chère ou légèrement plus rapide d’un concurrent établi : votre marque ne vaudra pas tripette et vous serez condamnés à l’invisibilité.
💡 Solution : Cherchez ce que vos concurrents ne peuvent pas bien faire à cause de leur taille, de leur modèle ou de leurs priorités. C’est là que se cache votre véritable différenciation.
Exemple concret : imaginons une startup SaaS qui propose un logiciel RH. Mais notez que cela marche avec littéralement tous les types d’entreprises. Mais la notre en question s’adresse à des scale-up tech (le client), le problème clé de ces clients pourrait être la difficulté à recruter rapidement des développeurs (le problème). Sa promesse de valeur pourrait alors être d’accélérer le recrutement en automatisant la présélection des candidats (la solution). Et son élément différenciant pourrait être une IA entraînée spécifiquement sur les profils tech, offrant une précision bien supérieure aux autres outils généralistes (différenciation).
En condensant ces idées, on obtiendrait un énoncé de positionnement du type : « Pour les entreprises tech en croissance qui peinent à recruter (cible + problème), [Nom du produit] est la plateforme d’assistance automatisée au recrutement (catégorie/solution) qui permet d’embaucher des développeurs qualifiés 2 fois plus vite que la normale (bénéfice), grâce à une IA spécialisée dans les talents tech (différenciation) ».
Cet énoncé tient en une phrase, mais il est le fruit d’une réflexion stratégique. Il servira de boussole pour toutes les étapes suivantes.
Astuce opérationnelle : n’hésitez pas à formuler plusieurs versions de votre énoncé de positionnement et à les tester rapidement autour de vous (collègues, clients de confiance). Si personne n’est capable de le reformuler aisément ou de voir en quoi vous êtes unique, c’est qu’il n’est pas encore assez clair ou percutant. Affinez jusqu’à obtenir une formule simple et mémorable.
Attention, l’unicité doit être réaliste et spécifique.
2. Construire un message stratégique cohérent (core messages et piliers de communication)
Une fois votre positionnement idéal défini, l’étape suivante est de le traduire en message stratégique. Il s’agit de passer de la boussole à la feuille de route narrative pour votre marketing. Concrètement, vous allez élaborer un “core” message et quelques notions piliers qui déclinent ce core message sous différents angles.
Votre message central résume l’essence de votre positionnement en une phrase percutante. C’est souvent le slogan ou l’accroche qu’on retrouvera sur votre page d’accueil, vos présentations ou vos campagnes. Il doit immédiatement parler à votre cible et mettre en avant votre promesse unique.
Autour de ce message central, développez 2 à 4 piliers de message. Chaque pilier est un aspect clé qui soutient et enrichit votre positionnement : un bénéfice spécifique, une caractéristique distinctive, une preuve tangible, etc. Ces piliers permettent d’adapter le discours selon l’audience ou le contexte tout en restant cohérent sur l’ensemble.
🚨 Erreur fréquente : avoir un message trop vague ou trop centré sur soi
Beaucoup d'entreprises parlent d'elles-mêmes sur leur site ou leurs supports marketing ("Notre mission est...", "Nous sommes experts en..."). Mais les clients ne cherchent pas à savoir qui vous êtes, mais comment vous allez les aider. Il faut parler d’eux.
💡 Solution : Définissez un message clair et impactant centré sur les problèmes et aspirations du client.
Exemple concret :
Core : "Recrutez des développeurs qualifiés en 30 jours ou moins."
Pilier 1 - Précision : "Une IA entraînée sur 10 000 profils tech pour identifier le bon candidat."
Pilier 2 - Rapidité : "Des candidats présélectionnés en 48h, pour diviser par deux vos délais d'embauche."
Pilier 3 - Crédibilité : "Déjà 50 entreprises tech ont recruté avec nous en un temps record."
Avec cette architecture de message, on dispose d’un cadre narratif clair. Le core message sert de fil rouge, et les piliers fournissent des arguments concrets pour vos contenus, vos emails, vos posts LinkedIn, vos webinaires, etc. En bref, vous savez quoi dire et comment le décliner.
À éviter : vouloir trop en dire dans votre message central. Restez focalisé sur une idée forte. Les détails complémentaires trouveront leur place dans les messages piliers ou le contenu explicatif. Un bon message stratégique est comme un slogan : clair, simple et évocateur – il donne envie d’en savoir plus sans tout dévoiler.
3. Adapter le positionnement à vos personas et cas d’usage
Un positionnement efficace doit être cohérent, mais cela ne veut pas dire uniforme pour tous. Selon les types de clients que vous adressez (vos personas) ou les contextes d’utilisation de votre produit, service ou solution, il est souvent utile d’ajuster le discours tout en gardant la même trame de fond.
Concrètement, cela signifie décliner votre positionnement pour qu’il résonne chez différentes audiences sans le dénaturer. Par exemple, un même logiciel peut cibler tantôt des directeurs techniques, tantôt des responsables RH. Le besoin auquel vous répondez n’est pas perçu de la même manière par ces deux personas, même si le produit est le même.
🚨 Erreur fréquente : vouloir s'adresser à tout le monde
Les entreprises B2B pensent souvent qu'en ciblant large, elles maximisent leurs chances. En réalité, un message trop généraliste ne touche personne.
💡 Solution : Adaptez votre discours à vos différents segments de clientèle.
Exemple concret :
Notre startup de recrutement peut avoir deux types de clients : d'une part les CEO de petites boîtes tech, d'autre part les responsables RH de moyennes entreprises. Le positionnement global reste centré sur le recrutement rapide de développeurs qualifiés, mais on va adapter le message-clé pour chaque persona :
Pour un CEO de startup, on mettra l’accent sur « accélérez le recrutement pour soutenir votre croissance sans augmenter la charge de travail de votre petite équipe ».
Pour un responsable RH, on insistera plutôt sur « un outil qui automatise les tâches chronophages et vous libère du temps dans la sélection des talents ».
On parle toujours de rapidité et d’efficacité via l’IA spécialisée, mais on va moduler la présentation du problème et du bénéfice pour qu’ils collent aux priorités de chaque interlocuteur. Cette adaptation peut également s’étendre aux cas d’usage spécifiques. Si votre solution de recrutement est utilisée à la fois pour embaucher des développeurs et des data scientists, le cœur du positionnement (recruter plus vite) reste identique, mais vos contenus et exemples doivent tour à tour parler du recrutement « dev » et du recrutement « data ».
L’idée n’est pas de changer de positionnement comme de chemise selon le client en face – au contraire, mal calibrer son message peut brouiller votre identité. Il s’agit plutôt de parler la langue de votre audience pour faire ressortir la même promesse d’une façon qui l’interpelle directement. C’est un équilibre subtil entre cohérence (rester fidèle à votre positionnement central) et pertinence (toucher la corde sensible de chaque segment de clientèle).
4. Prouver et incarner votre différenciation
Avoir un argument de différenciation, c’est bien. Pouvoir le démontrer de manière convaincante, c’est mieux. Cette quatrième étape consiste à consolider votre positionnement en alignant la preuve et l’expérience réelle sur le message que vous proclamez.
D’abord : identifiez des preuves tangibles de votre promesse. Qu’il s’agisse de données (chiffres de performance, délais, ROI mesuré, etc), de témoignages clients, d’études de cas ou de démonstrations produit. Tous ces éléments viennent crédibiliser votre positionnement. Ils répondent à la question que tout prospect se pose (explicitement ou non) : « Ok, c’est votre promesse, mais qu’est-ce qui me prouve que vous la tenez ? ».
Ensuite, assurez-vous que l’expérience client délivrée est cohérente avec votre positionnement annoncé. C’est souvent là que le bât blesse : si vos actions ne suivent pas vos paroles, le marché le remarquera vite. Cela peut impliquer des ajustements opérationnels ou produit.
🚨 Erreur fréquente : Ne pas aligner ses actions avec son message
Dire que vous êtes "les meilleurs" sans le démontrer crée une dissonance cognitive.
💡 Solution : Mettez en avant des preuves tangibles.
Exemple concret :
Si notre startup promet d’accélérer drastiquement le recrutement (positionnement basé sur la rapidité), plusieurs éléments doivent soutenir cette promesse dans les faits :
L’application doit effectivement être simple à déployer et à utiliser pour lancer rapidement un processus de recrutement. Si l’on découvre qu’il faut 3 mois pour l’intégrer, toute l’histoire de rapidité s’écroule.
Le site web peut mettre en avant un compteur de temps économisé ou un calculateur interactif montrant combien de semaines de recrutement sont gagnées en moyenne grâce à la plateforme.
Des témoignages clients peuvent valider le discours : « Grâce à Trucmuch, nous avons embauché 5 développeurs en 6 semaines au lieu de 4 mois », déclare un de nos utilisateurs.
L’équipe commerciale, formée à ce positionnement, va par exemple proposer des démos chronométrées (montrer qu’en 30 minutes on peut effectuer X actions prêtes à l’envoi) pour prouver la facilité et la vitesse.
En alignant ainsi vos preuves (chiffres, études de cas, témoignages) et votre expérience client réelle (produit, service, processus de vente) sur votre promesse, vous faites passer votre positionnement du stade de l’idée marketing à une réalité concrète perçue par le client. C’est ce qui transforme un beau discours en avantage concurrentiel durable.
Insight différenciant : peu de B2B le font bien. Saisissez l’occasion de vous démarquer en faisant de votre positionnement une expérience à vivre, pas juste un slogan. Par exemple, Salesforce dans ses débuts a incarné son positionnement “No Software” (pas de logiciel à installer) non seulement via un logo explicite 🚫💽, mais surtout en proposant une expérience 100 % en ligne à une époque dominée par les logiciels à installer. Le message et la preuve ne faisaient qu’un – et c’est ainsi qu’ils ont gravé leur différence dans l’esprit du marché.
5. Déployer le positionnement sur tous les canaux
Votre positionnement est maintenant clair, vos messages sont définis, et vous avez les preuves pour le soutenir. Il est temps de passer à l’action visible : décliner ce positionnement sur l’ensemble de vos canaux et supports. C’est ici que la cohérence et la répétition créent la réputation.
Commencez par revoir tous vos points de contact marketing et commerciaux pour y injecter votre nouveau positionnement :
Site web : mettez à jour les pages clés (homepage, pages solutions) avec votre message central et vos piliers. Le visiteur doit comprendre en quelques secondes votre promesse unique.
Présentation corporate / commerciale : intégrez le nouveau narratif, les preuves et les messages adaptés aux différents personas dans vos slides. Votre deck commercial doit raconter l’histoire que vous avez construite, de l’introduction du problème jusqu’à la preuve de votre différenciation.
Contenus et inbound marketing : ajustez vos livres blancs, articles de blog, études de cas pour qu’ils reflètent les enjeux et la vision de votre positionnement. Et mieux encore, créez de nouveaux contenus qui illustrent votre approche unique d’un problème (par ex., un ebook « Recruter des développeurs 2x plus vite : le guide pratique » reprenant notre exemple).
Réseaux sociaux et personal branding : diffusez régulièrement des messages cohérents avec votre positionnement. Sur LinkedIn, cela peut passer par des posts qui adressent le problème central que vous résolvez, par des partages de vos cas clients, ou par des réflexions sur l’évolution de votre secteur alignées avec votre vision.
Relations presse et événements : si pertinent, ajustez vos éléments de langage dans les communiqués de presse, et proposez des sujets de conférences ou tables rondes qui appuient votre positionnement.
🚨 Erreur fréquente : Manque de cohérence dans la communication
Si votre promesse change selon le canal, votre audience ne retiendra rien.
💡 Solution : Utilisez une structure de message répétée et cohérente.
Exemple concret : notre startup SaaS RH refond par exemple sa page d’accueil avec le slogan « Recrutez vos talents tech en 30 jours » bien en évidence, accompagné d’un CTA vers un cas client chiffré. Le blog de l’entreprise publie un article « Recruter un développeur en 2025 : pourquoi la rapidité est le nerf de la guerre » (soulignant la problématique que l’outil résout). Sur LinkedIn, le dirigeant partage une anecdote sur la difficulté à recruter dans sa précédente startup et comment cela l’a motivé à créer cette solution – renforçant ainsi la mission derrière le positionnement. Chaque message, chaque email de newsletter reprend le même fil rouge autour de l’embauche rapide et efficace de profils tech.
Ce déploiement large garantit que votre audience voit et entend constamment les mêmes idées-forces associées à votre offre. Petit à petit, ce que vous répétez devient ce pour quoi on vous connaît. C’est ainsi que le positionnement théorique se transforme en positionnement perçu sur le marché.
6. Mesurer l’impact et ajuster en continu
Dernière étape, et non des moindres : mesurez les effets de votre positionnement et soyez prêt à l’ajuster. Un positionnement n’est pas figé dans le marbre ; il doit vivre et évoluer avec votre marché, vos clients et votre entreprise.
Mettez en place des indicateurs pour suivre comment votre nouveau positionnement influence vos résultats. Cela peut être quantitatif (taux de conversion marketing, durée du cycle de vente, nombre d’opportunités gagnées face à la concurrence, etc.) et qualitatif (retours des clients, commentaires glanés par vos commerciaux, perception de votre marque lors d’entretiens de vente ou sur les réseaux).
🚨 Erreur fréquente : Ne pas réévaluer son positionnement
Un positionnement figé n’est pas adapté aux évolutions du marché.
💡 Solution : Faites un bilan régulier sur la perception de votre marque.
Exemple concret : après le déploiement, notre startup de recrutement pourrait interroger ses prospects lors des démonstrations : “Qu’est-ce qui vous a incité à nous contacter ?”. Si la plupart répondent qu’ils ont été attirés par l’idée de recruter plus vite ou qu’un collègue leur a parlé de « la plateforme pour embaucher des devs en un mois », c’est bon signe : le positionnement commence à infuser le marché. En revanche, si les réponses restent vagues ou mentionnent des aspects hors de votre promesse centrale, c’est le signal qu’il faut affiner le tir.
De même, analysez vos ventes gagnées/perdues. Si vous continuez à perdre des deals car « le concurrent X a une offre moins chère », peut-être faut-il renforcer la communication sur la valeur ajoutée unique qui justifie votre prix, ou revoir votre ciblage pour éviter les prospects trop sensibles au prix. Sans oublier le sales enablement évidemment. Si au contraire vous constatez que les clients signés citent spontanément votre différenciation comme raison de leur choix, vous êtes sur la bonne voie.
Enfin, restez à l’écoute du marché. Les besoins évoluent, de nouveaux concurrents apparaissent, l’environnement change. Un positionnement doit pouvoir s’adapter. Pensez à le réévaluer périodiquement. Votre promesse est-elle toujours aussi pertinente ? Y a-t-il une nouvelle douleur émergente chez vos clients ? Un nouvel entrant vient-il brouiller votre message ? Ces réflexions vous aideront soit à conforter votre positionnement actuel, soit à le faire évoluer intelligemment avant d’y être contraint.
Voilà en bref une méthode en six étapes pour définir et affiner votre positionnement B2B. Cela demande du travail en amont et une vigilance continue, mais l’effort en vaut la chandelle : un positionnement solide, c’est la promesse de davantage de leads qualifiés, de cycles de vente plus fluides et d’un avantage concurrentiel durable. C’est surtout la clé pour que votre histoire résonne dans l’esprit de vos clients idéaux.
Cette prise de hauteur est essentiel car en matière de marketing B2B, il est facile de se perdre dans les tactiques du quotidien sans prendre ce recul stratégique salutaire.
Mon conseil : prenez le temps, dès cette semaine, de réunir votre équipe et de passer en revue votre positionnement à la lumière de cette méthode. Même de petits ajustements peuvent avoir un impact énorme sur la clarté de vos messages et la perception de votre offre sur le marché.
En synthèse : ayez l’audace de définir précisément qui vous servez et comment, construisez un récit cohérent autour de cette promesse, incarnez-le vraiment, puis diffusez-le inlassablement. C’est ainsi que l’on forge, petit à petit, une position forte dans son marché.
Bon positionnement, et à très vite pour plus de conseils !
Merci pour votre lecture ! J’espère qu’elle vous aura été agréable et utile.
Si c’est le cas, soutenez-moi en partageant la newsletter à quelques personnes qu’elle intéressera. C’est précieux pour se lancer !
A la semaine prochaine (ou plus tôt sur LinkedIn).
Adam.




Très clair, precis et nécessaire de rappeler que tout part du positionnement, de se questionner à chaque nouvelle offre, service comment elle/il sert le positionnement. J’ai aussi pu constater chez certains clients qu’il y avait confusion entre positionnement et cible avec des formulations du positionnement du type « « le service » des clients de/qui « …. ». Le positionnement est le fil d’Ariane du CMO.